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TRIO TORRIDE DANS LA VALLÉE DE L'UBAYE |
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Cette histoire remonte à six ans. Quand vous l’aurez lue, vous comprendrez que je ne puisse pas l’oublier. J’avais 22 ans, j’étais encore étudiant en chimie et assez hésitant dans mes relations avec les hommes. Je savais que j’étais complètement homo mais sexuellement, j’avais quelques blocages inexplicables.
Entre autres et étant plutôt passif, je refusais la sodomie. Ce n’était pas la peur d’avoir mal ni quelque chose de tabou pour moi. Il m’arrivait d’avoir envie d’être dépucelé à fond et enculé mais je n’arrivais pas à franchir ce pas. Je crois, tout simplement, que je n’étais pas encore prêt à me donner entièrement à un homme. Par contre, j’adorais les caresses, branler et sucer une belle queue, la voir gicler, lécher un cul... Je pouvais être assez vicieux avec mes partenaires mais dès que l’un d’eux tentait de me mettre sa tige entre les fesses, je me refusais. J’avais vraiment trop peur de ce passage à l’acte, peur des sensations inconnues que je pourrais y découvrir. Sans doute me trouverez-vous un peu compliqué mais c’est bien comme ça que je vivais les choses. Rassurez-vous, j’ai fini par y passer et aujourd’hui, je me dis que j’ai vraiment été stupide de me priver pendant si longtemps d’un tel plaisir alors que je prends un pied pas possible chaque fois que je me fais enculer.
Il y a six ans, donc, et durant les vacances d’été, je suis parti faire un stage de rafting et de kayak dans la vallée de l’Ubaye. Je me suis retrouvé au milieu d’un groupe de garçons et filles de mon âge. Parmi eux, il y a avait Brice et Nicolas, deux copains de Poitiers. J’ai pu vite comprendre qu’il ne s’agissait pas uniquement d’amitié dans leurs relations, même s’ils faisaient tout pour rester discrets sur leurs rapports. Il faut dire que j’avais complètement flashé sur Brice, un blond très mignon, et que je ne cessais de l’observer. Devant les regards qu’il échangeait avec Nicolas, certains de leurs gestes ou de leurs attitudes, j’ai rapidement été persuadé qu’ils baisaient ensemble. Je ne me suis pas trompé... Nous logions tous sous des tentes, au bord de l’Ubaye. Après les cours, en fin de journée, je les voyais souvent disparaître tous les deux, et prendre des petits sentiers pour s’éloigner du camping. Le stage durait quinze jours et j’ai tout fait pour me rapprocher d’eux et leur faire comprendre que moi aussi, j’aimais les mecs. En fait, je fantasmais déjà d’une bonne partie à trois mais je n’étais pas encore sûr d’être accepté au sein de leur couple. Je leur tournais constamment autour et je m’amusais surtout à allumer Brice. Ils ont compris à leur tour et un soir, après être resté un long moment tous les trois ensemble, au bar du camping, nous avons longé la rivière à la recherche d’un coin tranquille. Malgré la fraîcheur de la nuit, nous nous sommes mis complètement nus, tous les trois. Je me suis tout de suite approché de Brice pour l’embrasser et le caresser. Au même moment, je sentais les mains de Nicolas caresser ma queue dure et mes couilles. Nous avions trouvé une petite berge et nous nous sommes étendus sur le sable. J’avais surtout envie de Brice et je ne quittais plus son corps musclé. Je léchais sa peau et ses seins, je branlais sa pine, une teub longue et épaisse pendant que Nicolas suçait la mienne.
Nous nous sommes excités un long moment tous les trois jusqu’à ce que Brice me murmure :
- Tu veux que je te baise ?
Je lui ai répondu que je préférais lui tailler une bonne pipe et le faire jouir avec ma bouche. Il a semblé un peu déçu mais m’a laissé. Nicolas, plus timide et réservé parlait peu ce qui ne l’empêchait pas de très bien me pomper. Il me faisait une véritable gorge profonde, avalant ma bite jusqu’aux couilles. C’est ainsi que nous avons joui, moi suçant la belle queue de Brice et Nicolas pipant la mienne. Ensuite, je n’ai eu qu’à branler Nico pour le faire juter à son tour.
Le lendemain, nous remettions ça. Cette fois, nous avons quitté le camping tout de suite après la journée de rafting. Ils avaient trouvé un petit coin sympa au milieu d’une forêt. J’ai été encore plus excité par le corps de Brice en le découvrant en pleine lumière. Sa belle tige se dressait au milieu d’une abondante toison de poils blonds. Ce mec était super bien foutu. Nicolas, lui, était plus frêle et longiligne avec une toute petite queue mais un très beau cul. Nous avons commencé, comme nous l’avions fait la veille, à nous embrasser, nous caresser et nous exciter les uns et les autres. J’ai sucé Brice et je lui longuement léché le cul en enfonçant bien ma langue à l’intérieur. C’est une caresse que j’adore. J’ai également pompé Nicolas. Au bout d’un moment, Brice m’a reparlé de m’enculer. Devant mon refus, il m’a répondu :
- Alors c’est Nicolas que je baise. Aujourd’hui, j’ai très envie de jouir dans un cul.
Nicolas s’est tout de suite posté à quatre pattes pour lui présenter ses fesses et Brice s’est installé derrière lui pour l’enfiler. J’ai assisté au spectacle de sa bite hyper raide forcer l’anus de son copain puis disparaître lentement à l’intérieur. Nicolas s’est mis à gémir et à encourager Brice par des :
- Oui, vas-y, baise-moi à fond. Défonce-moi.
Et l’autre lui répondait :
- Oui, tiens salaud ! Il est tellement bon ton cul.
À ce moment là, j’ai compris que j’étais très amoureux de Brice et jaloux de Nicolas. Jaloux du plaisir qu’il était capable de lui offrir. Brice, de plus en plus déchaîné, écartelait les fesses pour planter sa tige jusqu’à la garde et répétait :
- C’est trop bon de te baiser ! Délicieux.
Je me branlais tout en les regardant. Plusieurs fois, j’ai failli dire à Brice :
- Retire-toi et viens m’enculer à mon tour.
Tellement il semblait prendre son pied avec Nico. Je n’ai pas osé mais dans ma tête, je me suis juré de lui offrir mon cul avant la fin du stage et lui faire le cadeau de mon pucelage. Nous avons continué à avoir des relations à trois mais chaque fois que Brice baisait Nicolas devant moi, j’éprouvais les mêmes sentiments de jalousie. Deux jours avant la fin du stage, j’ai accepté d’être enculé. C’est moi-même qui le lui ai proposé. Brice était ravi par le fait d’être le premier à passer entre mes fesses. Très excité aussi de se faire un cul vierge. J’étais aussi content que lui mais anxieux. Il a demandé à Nicolas de s’étendre sur l’herbe quant à moi, j’ai dû venir me placer sur lui, en 69. Brice voulait qu’on se suce pendant qu’il m’enculerait. Nico a immédiatement avalé ma tige et moi la sienne. Pendant ce temps, Brice a préparé mon trou avec sa langue et ses doigts. Il me disait aussi que j’allais prendre un super pied avec sa pine dans mon oeillet. Je tremblais d’émotion quand le gland est venu presser mon anus. Brice m’a conseillé de me détendre et il a commencé à m’enfoncer. J’avais mal mais je ne disais rien. Il progressait par à coups tout en commentant le plaisir que lui faisait éprouver mon cul serré. Enfin, il a été tout en moi et i lest resté un petit moment immobile avant de commencer à bouger. Je souffrais toujours autant mais je n’osais pas lui demander d’y aller moins fort. Nico me pompait toujours et peu à peu, la douleur est devenue moins vive, moins lancinante. Au bout de quelques minutes, j’ai été surpris de ne plus avoir mal et là, c’est devenu fantastique...
Je ne pouvais plus pomper Nicolas tellement mes sensations étaient violentes. J’avais envie de bouger avec Brice et surtout, de lui dire à quel point c’était bon ce qu’il me faisait. Je ne me suis pas privé de le crier quand j’ai joui. Quelques secondes après, Brice explosait entre mes fesses. Le lendemain, avant de nous séparer, nous avons baisé comme des fous une dernière fois et évidemment, j’ai demandé à Brice de limer mon cul.
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